MatooBlog

Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).

Soirée OFF

Je suis fatigué.

Je suis seul chez moi ce soir, et c’est assez agréable en fait. Je devais aller à Beaubourg avec M., mais ce dernier avait oublié un dîner avec un excellent pote à lui. Je ne me sentais pas trop de l’accompagner, et n’ayant trouvé de comparse pour aller voir l’expo Cocteau, je me suis replié dans mes pénates.

Donc c’est une soirée toute calme et tranquille. Je crois que j’en avais besoin car je suis totalement naze. Le boulot me vide pas mal l’esprit en ce moment, et du coup je suis moins partant que d’habitude pour bouger. Quoique lundi et mardi soir, j’ai passé la soirée avec, respectivement, Jeff et Nabil. C’était vraiment bien d’ailleurs de passer du temps en duo avec eux. Cela faisait longtemps et du coup, on en a profité pour évoquer nos devenirs mutuels.

J’ai tenté de me mettre un film sur le câble, mais c’est un drame. Plus on a le choix et moins on sait quoi regarder, du coup je fini par zapper toutes les deux minutes trente, ou bien j’éteins. Je me suis retrouvé à manger devant la chaîne FX (qui passe à 90% des daubes) et j’ai tenté un film des années 80 assez minable mais drôle (« StarFighter »). Demain, c’est « le déclin de l’empire américain » sur Arte, il ne faut pas que j’oublie de l’enregistrer. J’aimerais bien le voir avant de visionner « Les invasions barbares ».

Allez, je vais passer un coup de fil à Virginie, histoire de lui raconter ma vie qui passe, et prendre des nouvelles de la sienne. On s’est eu au téléphone hier, mais elle mettait juste une dernière touche à sa thèse. Je n’ai pas trop de niouzes de Diego, il est en pleine passion amoureuse alors je prends mon mal en patience. Je lui ai fait à peu près le même coup il y a un an et demi avec M., alors je ne dis trop rien (sinon je vais me faire engueuler).

Ah oui, en rentrant ce soir par le RER, mon esprit divaguait tandis que je rentrais au radar et je me suis demandé si finalement le film Matrix n’était pas un indice mis dans notre monde virtuel pour nous éveiller en douceur. Un peu comme si au lieu de nous débrancher brutalement, on nous refilait du Matrix en suggérant les idées idoines au scénariste (à moins qu’il soit un de ceux à l’extérieur), pour nous informer de la réalité tronquée de notre existence. Woooooh ! Ensuite, en montant les escalators, je me suis dit que c’était une bonne soirée pour ne rien faire, se reposer et surtout arrêter de lire de la SF.

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