MatooBlog

Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).

Histoires de chattes

Oui, oui, oui, je ne sais pas ce qui m’arrive mais je suis très vaginal en ce moment.

En fait, c’est l’autre soir quand en zappant sur la Freebox, je suis tombé sur la télé locale bordelaise. C’était les infos, et il s’agissait en particulier d’un type de la mairie de Bordeaux qui avait donné sa démission pour une islamophobie de la part des autres employés. Donc plutôt un sujet grave, et la présentatrice affichait une mine sévère. Le type en question est interviewé, et voilà qu’il explique qu’à plusieurs reprises, on lui avait déposé sur son bureau des tranches de rôti de porc.

J’étais pété de rire parce que c’est tellement con et petit franchouillard de base de faire un truc pareil, et qu’en plus je n’ai pas pu m’empêcher de me demander ce qu’on pourrait me mettre sur mon bureau pour montrer son homophobie.

Et cette nuit j’ai fait le songe évident et cauchemardesque suivant : oui, oui, oui, vous l’avez bien deviné, j’ai rêvé qu’on avait débité des tranches de vagins sur mon bureau !! Aaaaaaaah ! Mon beau bureau, il était tout recouvert de chattes en rondelles !!!! Du coup, je me suis réveillé en rigolant, et je me suis dit que ce n’était finalement pas un truc efficace pour me prouver son homophobie.

Ajoutons à cela : le truc qui m’a bien fait rire ce matin dans mon bouquin :

[…] bien après le départ de César, sa mycose était toujours là.
– Oh ça me démange, c’est insupportable ! s’est exclamée ma mère, un soir.
– Moi aussi, a renchéri Dorothy. Et mes pertes, on dirait du cottage cheese.

C’est tout de même Natalie qui a le mieux résumé la situation :
– Nom de Dieu. On dirait que ma chatte s’est brossée les dents. Elle a carrément l’écume aux lèvres.

Et en sus, une fille en face de moi dans le RER, pendant que je découvre hilare ce qui est ci-dessus : que lit-elle ? Caaaaa :

Sex addict 69 - Tatiana Potard

Alors là, je me dis que c’est l’apothéose. Et je regarde la couverture avec insistance et je fais un grand sourire à la nana qui le lit. Cette dernière me dévisage d’une oeillade agressive genre « Quoi tu veux qu’ch’te foute mon poing dans la gueule, et que je te montre ce que c’est une vrai goudou de la mort des Enfers ? ». Evidemment, comment pouvait-elle deviner que je connaissais l’auteuse-blogueuse de ce roman tout encore chaud de l’imprimerie !?

Bah elle ne pouvait pas, et comme elle n’avait pas l’air commode ou très affable, je n’ai pas voulu rentrer dans une discussion périlleuse. Elle m’aurait lancé un nakadaka-ippon-ken dans la tronche en pensant que je n’étais qu’un satyre du métro.

Donc j’ai repris mon air patibulaire (mais presque) du matin (vers 10h15), et me suis replongé dans mon histoire de chattes. En attendant la prochaine de la journée…

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