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Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).

Les cerises bleues et le rouleau mystère

Gyom n’en a pas eu assez d’un article à relater son étonnement scientifique sur ce genre d’appareillage sophistiqué :

Le Rouleau Mystère

Il en compose donc un second pour aller plus loin dans l’exposé de ses thèses, hypothèses, synthèses et analyses de terrain. MOuahahaha. Le pire c’est que j’ai déjà été confronté à cette machine infernale et que je me suis posé les mêmes épineuses et existentielles questions ! Pourquoi un second rouleau ? Pourquoi en fin de course ? Quelle mécanique pour passer de l’un à l’autre, mais surtout quelle logique, et quelle fin ? Quel dessein ? L’origine du monde repose-t-elle sur ce fragile équilibre entre science et pure foi ? La fin du rouleau annonce-t-elle la fin de notre civilisation, et les cerises bleues seront-elles notre salut ?

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  • Bah c’est simple, le petit rouleau est la fin du grand. C’est juste pour conserver les mêmes cadences d’entretien systématique tout en proposant un distributeur plus pratique et plus sûr contenant un papier-cul plus agréable. Les anciens systèmes à grands rouleaux ne fonctionnaient plus très bien depuis qu’ils ont changé la qualité du papier autrefois plus solide mais aussi extrêmement rêche et désagréable.

    Le changement de rouleau doit lui-aussi être assez facile à comprendre. Il suffit soit de contrôler le diamètre de celui qui se dévide, soit la libération ou l’immobilisation du noyau qui pressera la fin de l’un contre le début de l’autre et l’entrainera vers la sortie pour devenir à son tour accessible de l’extérieur.

    Je n’ai jamais vu ces nouveaux modèles mais je me souviens de la galère avec les anciens quand il fallait enfiler le bras entier dedans pour récupérer quelques confettis de pq. :mrgreen:

  • Pour être plus précis : le petit rouleau sert à déplacer le grand quand il est vers la fin. Avec un seul rouleau, si on attendait que le rouleau soit complètement fini, on risquerait de ne pas le changer alors qu’il ne reste presque rien, ce qui serait dangereux (risque de se retrouver sans PQ), et si on changeait le rouleau dès qu’il arrive vers la fin, ce serait du gâchis. Il faut donc prévoir d’avoir deux rouleaux.

    Mais se pose alors un problème : comment faire pour éviter que les gens se servent machinalement du grand rouleau avant de finir le petit (ce qui risquerait d’amener la situation où les deux rouleaux largement entamés) ? La solution est ingénieuse : beaucoup de ces dévidoirs ont un battant qui peut être positionné de façon à bloquer l’accès au grand rouleau (ou en tout cas le rendre très malcommode) tant que le petit rouleau n’est pas quasiment vide.

    Eh oui, c’est bien pensé, tout ça.

  • Le but premier étant de d’abord terminer le grand rouleau, le petit servant de backup pour éviter une rupture de stock… je vois pas vraiment ce qu’il y a de mystérieux.

    C’est une solution partielle…
    La solution la plus sûre est deux rouleaux de même capacité, l’un au dessus de l’autre pour éviter que les utilisateurs ne vident l’un avant l’autre, ou par un autre système.

    Le client français voulant le papier de dernière fraiche essaiera de gruger et de prendre du dernier alors que le premier n’est pas fini.
    Cette solution la plus sûre n’est donc pas adaptée au marché francais (et population agissant de la même manière, pas de discrimination vous l’aurez bien compris).
    Afin qu’il comprenne que c’est un backup, on va le faire plus petit… mais du coup la gestion des stocks est à l’appréciation des gestionnaires de PQ… enfin des procédures qui leur sont dédiées, qui doivent être simplifiées au maximum… ya un lecteur d’Elis, là ?

    Vu comment sur un échantillon de trois personnes, vous évaluez l’utilisation de ce système, il faudrait alterner un système petit-grand avec un système redondant grand-grand, voire 2 petits-grand pour 1 grand-grand (dans le cas de toilettes jouxtes). Dans le cas où l’on cherche à ne pas donner de consigne afin que l’utilisateur ne se pose pas de question (sauf existentielle à tête reposée comme ici).

    Enfin, si l’on admet que l’utilisateur ne soit pas dérangé par la lecture :doute: , la solution la plus simple serait de mettre une consigne en multiples langues :cool:

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