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Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).

Like a Virgin(ie)

Nous sommes rentrés avec Virginie et son frère, Nicolas, dimanche en fin d’après-midi et sous la flotte sur Paris. J’avais organisé une p’tite fête pour permettre à Virg de revoir certains potes de l’époque pas si lointaine où nous sortions tous ensemble à la « Oh là là » complètement murgés le jeudi soir. Donc ce fut une soirée « Ancien Régime » avec Yves, Caroline et Diego, et puis Sébastien que j’étais content de présenter à Virginie.

Les sujets de conversation ont été plus que variés puisque nous avons allègrement devisé de Tennis (et surtout de l’aspect physique et vestimentaire des joueuses mondiales), de cinéma (enfin j’ai aussi fait part de ma récente découverte sympathique de TheBaitBus), de relations humaines (ton meilleur coup, le plus gravissime, le plus beau râteau, les mecs qui aiment se faire insulter ou cracher dessus etc.), de musique (le retour de Jeanne Mas sur le devant de la scène) et aussi de politique (il est carrément baisable le p’tit Besancenot là !).

Rien que de très sérieux et délicieusement intellectuel quoi ! :mrgreen:

Je crois Virginie et son frère ont encore halluciné sur notre capacité à partir d’une thématique plutôt conventionnelle pour en faire… n’importe quoi ! J’exagère car nous avons justement eu certaines conversations posées, et c’est justement ce mélange que j’aime, et cette franche tendance à la déconnade qui a toujours rendu nos soirées si festives.

Ce matin, je ne les ai même pas entendu se lever, puisqu’ils devaient prendre le train pour Montpellier à 7h du matin. Ils ont pu dormir sur mon futon déplié pour l’occasion dans le salon, ce qui est bien cool pour recevoir du monde. Mais c’était trop court, elle me manque terriblement à Paris. Je n’ose même pas projeter le départ de Dieg à la rentrée prochaine, tellement ça me file le bourdon à l’avance. Enfin, ce qui me console c’est que Virginie et moi restons aussi proches malgré la distance et la séparation. On se raconte encore beaucoup nos turpitudes au téléphone, et cela nous aide à conserver le lien ténu qui fait que nos existences restent soudées.

Et comme le titre le métaphorise, à chaque fois qu’on se revoit, c’est avec la même candeur et affection (non non je ne me touche pas en pensant à elle, ce n’est pas ce que je voulais dire lol). L’amitié est une chose tellement importante à mes yeux !

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