MatooBlog

Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).

En déficit de 17°C

Putain, comment je me gèle les couilles depuis que je suis rentré ! Pouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh ! Je veux mon île aux pédééééés avec la mer et le sable et le ciel bleu et les gros cailloux marrons et les maisons toutes blanches et la piscine et le jacuzzi et les moulins à vent et mon Andromède. Tout ça, et maintenant !! :-)

Bon ok, je redescends sur Terre. Mais bon, quand j’ai vu qu’on allait faire une escale à Rhodes, et que j’ai vu monter des ieuves, et pas n’importe quels ieuves, mais LES ieuves de la planète des ieuves ! J’ai retrouvé mes préférées : les aïeules à la chevelure schtroumpfée. Et une des schtroumpfettes a cru bon de me dire en me reconnaissant en pénétrant dans l’avion : « Hé hé, vous voyez, vous ne faites pas partie du groupe, mais on se retrouve quand même pour repartir ! C’est comme si vous ne nous aviez jamais quitté ! ».

Et me revoilà de retour à Paris, bien reposé et rasséréné, content de retrouvé ma vie sociale et assoiffé de saouler de paroles mes potes (hé hé hé), mais cette pause m’a fait du bien. J’ai écrit comme un fou tous les jours, je n’ai pas beaucoup lu par contre, j’ai surtout écouté de la musique, j’ai pris un immense bol d’air, j’ai aussi continué à faire tourner dans ma tête mes idées noires et de plus allègres pensées. Je me suis étalé sur la plage ou au bord de la piscine, avec mes écouteurs, au soleil et je n’ai simplement pensé à rien. Oh que c’était bon !

Mon dernier tour en ville, cette petite chapelle que j’adore…

Chapelle dans le centre de Mykonos

Chapelle dans le centre de Mykonos

Les moulins à vent…

Les fameux moulins à vent à l'entrée de Mykonos

Sur le chemin de l’hôtel, un joli bateau…

Vue d'un navire dans la baie de Mykonos en allant vers Ornos

Et ce matin avant de partir, je me désolais un peu car Andromède s’était carapatée dans la nuit, et je n’allais même pas pouvoir lui dire au revoir. Et comme par enchantement, elle m’est apparue comme la première fois où je l’ai vu, où elle est venue vers moi. Elle était assise sur le muret qui longe l’hôtel… alors je me suis approché et je lui ai fait un câlin d’adieu.

Bye bye Andromède

Et puis, alors que je partais avec mon barda, elle m’a appelé. Alors je me suis retourné et puis je lui ai dit : « Ciao ! ».

La dernière photo d'Andromède

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