MatooBlog

Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).

Catalyseur à anulingus

J’ai passé une première soirée bien décalqué par le décalage horaire, avec une folle envie de me coucher à 20h, que j’ai du réfrénée pour éviter de me réveiller frais comme un gardon à 3 heures du matin. Je savais grâce à un site que j’avais parcouru en France, qu’il existait un petit quartier gay dans Shinjuku. Ce quartier c’est plus exactement Shinjuku Ni-Chôme, que j’ai eu du mal à trouver, jusqu’à ce que je comprenne que Ni veut dire 2, et que quand je voyais 2-Chôme c’est que j’y étais. :mrgreen:

Mais vous savez bien que nos pas nous portent naturellement en terre sainte, puisque nous sommes les élus… Malgré le fait qu’il est absolument impossible de se repérer, qu’il n’y pas de noms de rue, j’ai rapidement et instinctivement été amené devant un drapeau gay ! Dingueuuuh. Donc me voilà, rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, et en effet, plusieurs bars gays se succèdent avec un relatif pignon sur rue. Je suis allé boire un verre dans à l’Advocates qui est fréquenté par des japonais mais aussi pas mal par des étrangers. C’était tranquille, mais je ne me suis pas attardé, j’étais trop fatigué pour entamer une conversation avec quiconque. Un type assis m’a juste dit « So soon. What a shame ! » lorsque je suis sorti, ce que j’ai trouvé choupinou* tout plein, parce que lui aussi l’était en plus. Donc je lui ai décoché mon sourire Ginger (la poule dans « Chiken run »), et j’ai expliqué « Jetlag, I’m dead ! See ya ! ».

En rentrant vers 23h30, j’étais complètement naze et déphasé. Je tombais de sommeil dans le métro, comme tous mes congénères tokyoïtes qui déclinaient du chef en choeur (ce n’est pas non plus une légende). J’ai fermé un peu les yeux, et puis à un moment j’ai entendu des gloussements en face de moi. J’ai soulevé une paupière et là je voyais deux jeunes nanas de 15/16 ans qui dardaient l’objectif de leur mobile sur moi, comme si de rien n’était. Genre, je suis un touriste qui ne sait pas ce qu’est un mobile avec appareil-photo. :mrgreen: Donc je me suis relevé, je les ai regardé en me marrant, et j’ai mis mon doigt dans ma bouche en faisant l’aguicheuse. Elles ont adoré et elle m’ont mitraillé grave. Je suis peut-être sur leur blog à l’heure qu’il est !

Oui, oui, je sais, je vous ai alléché (hum hum) avec ce titre de post, alors maintenant je dois le justifier ! Bon bin, c’est juste que mes chiottes à l’hôtel sont équipées d’un « catalyseur à anulingus » autrement dit ce fameux système de nettoyage de fesse intégré. Donc j’ai testé ça en rentrant hier.

Eh bien, c’est vachement bien !!! Renova, ça fait âge du bronze à côté de ce truc qui te karchérise le trou du cul en quelques secondes, hummm, c’est pas désagréable du tout en plus.

Il y a trois boutons, un qui envoie de la flotte, un qui envoie une lotion, un qui permet d’arrêter (au cas ou la machine s’emballe et te vide 30 litres dans le bide), il y a aussi un régulateur de pression d’eau. Je me suis donc confortablement assis… j’ai appuyé sur le premier bouton. Waaaaaaaaaaaaaah, comment il a trouvé qu’il était là mon trou de balle ? Y’a un détecteur de trou ou quoi ?? En tout cas, on reçoit un jet d’eau assez puissant et fin entre tiède et chaud. J’essaie de changer la pression, ah oui quand même… d’accord ça peut aussi servir de lavement ce machin ! :mrgreen:

En tout cas, on se sent rectalement bien bien bien propre après ce traitement. Un petite pression sur le second bouton, et bzzzzz, on se fait tartiner la raie des fesses d’une lotion apaisante et parfumée. Fantastique !

Catalyseur à anulingus ?! Ah si je vous jure, ça donnerait envie de se faire bouffer le cul ce truc là !

*NicoParis12©

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