Voilà un roman typique d’Amélie Nothomb, qui se lit en deux heures bien tapées, qui est simple à lire et à comprendre, et dont l’histoire se focalise sur une seule et simple intrigue. Il ne s’agit pas des bouquins qui m’ont remué les tripes comme « l’Hygiène de l’assassin » ou bien la « Métaphysique des tubes », mais de sa petite production littéraire régulière à laquelle on est maintenant bien habitué.
Antéchrista possède toutes les qualités des ouvrages de cette même veine. On y trouve là une relation passionnelle et cruelle entre deux êtres, la description simple et terrible des affres de l’adolescence et un petit bout d’histoire qui se savoure sans rechigner. Je n’ai pas trouvé que c’était le roman de l’année, mais comme à chaque fois elle fait mouche dans sa manière de narrer ses histoires. Et aussi dans ce qu’elle peut déclancher dans l’esprit du lecteur à partir de cette simplicité et cette crudité qu’elle a de dire les choses. Donc pour moi c’est comme d’habitude, un premier degré que j’apprécie comme « ça », et une kyrielle de détails dans les personnages, les attitudes, les choix narratifs qui me touche particulièrement et qui donne une portée supplémentaire à l’ouvrage.
L’histoire c’est celle d’une rencontre entre Blanche, une jeune fille effacée et intello de la fac, seule et solitaire, sans amie et sans charisme, avec Christa, la plus belle nana de la fac, en fait l’extrême opposée de la première. Christa va à la rencontre de Blanche et entreprend une drôle de conquête amicale entre du copinage intéressé et une systématique torture psychologique de Blanche. Cette dernière est donc tout d’abord paumée entre cette chance inattendue qu’une telle déesse se penche sur elle, et puis elle perçoit que cette Christa devrait plutôt s’appeler « Antéchrista ». Mais elle est rapidement pris dans les filets de cette gorgone et se devient captive de cette « amie » maléfique dont le plaisir consiste à l’humilier, la traîner plus bas que terre, et faire croire le contraire en se faisant, en outre, aimer de tous et toutes.
On retrouve bien les thèmes chers à Nothomb dans la souffrance de l’adolescente, autant dans l’humiliation face au physique que dans l’incompréhension de l’entourage, dans la relation sado-masochiste et un rien lesbienne entre les deux héroïnes etc. En définitive, ce bouquin est dans la lignée des autres, ni meilleur, ni moins bon.
La critique est très juste !! Ni intransigeante, ni complaisante… Bravo pour cette justesse.
Le problème avec Nothomb c’est qu’on a pas besoin de heures bien tapées pour la lire. il suffit de deux pages pour comprendre qu’elle va vous raconter une histoire de domination, de relations troubles entre deux jeunes filles, et de mythomanie. Personnellement, c’etrs mon opinion et je la partage, il me semble que quand on a lu 3 de ses bouquins on a tout lu d’elle… à chaque fois le même mécanisme : hop, je tire un fantasme ou une névrose au sort, et j’écris un bouquin dessus. L’antithèse absolue de Gavalda… tu as lu “ensemble c’est tout” ? :pompom:
ouais… “dans la lignée des autres, ni meilleur, ni moins bon”, seulement c’est un peu le 15ème dans ce style.
et puis j’ai trouvé que le rapport “je suis moche intello mais je préfère ça à être une salope de bombasse” était vraiment éculé
C’es vrai que niveau lecture, il se dévorre en très peu de temps! Mais que c’est bon: le retournement de situation final entre les personnages, perso, je trouve ça jouissif! (tu vois à quoi je fais allusion! Je préfère ne pas détailler pour ceux qui ne l’auraient pas encore lu!) :book:
La Nothomb sort des bouquins de plus en plus décevants. Je les ai tous lus, à peu près dans l’ordre chronologique, et il y a un net déclin…
Je trouve qu’elle rouille la Nothomb, voire qu’elle se fout d’not’gueulle! Je lui reconnais quelques bons livres comme hygiène de l’assassin (à l’époque il fallait encore qu’elle se creuse parce qu’aucune clientèle fidélisée n’aurait sauvé un flop), métaphysique des tubes ou cosmétique de l’ennemi. Seulement voilà, elle a comprit la recette (on la connaît tous, n’est-ce pas? un bon contraste entre deux personnages passionés et névrosés, le tout en dialogué du début à la fin parce qu’Amélie et bah elle est très fière de sa répartie et elle se trouve géniale dans ce domaine: un brice de Nice version bobo) et depuis elle chie une merde annuelle et hop!
Y’a “les Catilinaires” qui est très bien dans ces premiers boukins, mais c’est vrai que c’est de plus en plus décevant … :roll:
Moi, j’ai beaucoup aimé ses livres même si je trouve que souvent ils contiennent une partie vraiment excellente et une autre moyenne ou assez plate et convenue… Je déplore la minceur de ses nouvelles… et je me souviens de ma première lecture d’Amélie Nothomb : “c’est tout :gne: Rien après l’introduction ?” Pourtant, ce n’est pas faute de vraiment accorcher ! Que ce soit le tube divin, les ventilateurs porteurs de communisme, l’enfance de Plectrude… il n’y a pas de doute j’aime le regard que porte cet écrivain sur ce qui l’entoure… Mais, je constate comme beaucoup d’entre vous la répétition et le déclin… Dans sa “biographie de la faim”, c’est le vide total, un peu comme dans mon frigo : ouf j’ai quand même quelques marrons suisses. Mais globalement, quelques denrées douteuses et avariées et surtout je reste sur ma faim… Bon, je suis méchant, mais son dernier bouquin m’a fâché.
Je crois que comme j’ai beaucoup aimé les deux bouquins que je cite, et que j’apprécie encore pas mal ses idées, je cherche toujours ce qu’il y a de bon chez elle. Mais en effet, cela prend avec les années la forme d’une peau de chagrin…
Sans vouloir être méchant, je ne lui trouve aucun talent. J’ai lu quelques-unes de ses poussées (l’hygiène, la métaphysique, les combustibles) pour essayer de découvrir ce qui faisait que cette étrange créature avait autant d’admirateurs (et les pédés ne sont pas en reste). Mais rien, zéro, cacahuète. Je trouve ses romans d’une vacuité abyssale, d’une facilité déconcertante et, comme souvent chez certains auteurs, l’abondance de dialogue sert à masquer une affligeante pauvreté du style. Ça me rappelle certains albums de Martine, les images en moins. Je dirais qu’elle est à la littérature ce que Métro est à la presse.(Bon, d’accord, j’ai été méchant) :hum:
Bon, ben pour faire un peu contraste avec les autres commentaires, moi j’aime beaucoup Amélie Nothomb et j’ai beaucoup aimé Antéchrista. En même temps c’est son 3ème roman que je lis, donc si je suis le raisonnement d’Abz, j’en ai fait le tour et je serai déçu du prochain.
Le plus gros reproche que je lui ferais est effectivement la longueur de ses nouvelles. Le triple, pardon le quadruple ou plus, seraient vraiment les bienvenus. Il me reste toujours un sentiment de m’être fait arnaquer vu le prix (plus cher qu’un bouquin de poche classique) par rapport au nombre de pages (moins de 200 et caractère 36).
Moi je suis moche intello mais je préfère ça à être une salope de bombasse.
largo> es-tu éculé toi aussi? :)
Curudin : ouaip, je te le dis. N’en lis pas de 4ème. Ou alors juste pour le plaisir de découvrir la névrose cachée dedans ! Un vrai jeu de piste ; à trop manger des fruits pourris, cette petite nécrose de l’intérieur.
Jeff : je préfère les bombasses intellos.
:pompom:
Lu en 1h le bouquin d’A. Nothomb “Antéchrista”. Pas grand chose de “jouissif” : style très académique (que de répétitions en particulier pour désigner les parents de Blanche, “géniteurs” utilisé à outrance, phrase sèche et dans le paragraphe qui suit, très etoffée pour décrire le dialogue intérieur de Blanche d’ailleurs de façon caricaturale et disproportionnée). Trame romanesque convenue et chute passablement grotesque tellement outrée et pas crédible. Certes c’est un univers très personnel de perversité mais à la différence d’un Houellebecq, il ne regarde que son auteur.
Je vous trouve bien dur en général avec ce bouquin… … moi je l’ai adoré pour ce qu’il est : un bouquin divertissant mais au phrasé toujours aussi jouissif. Bon c’est peut-etre pas le meilleur mais elle arrive encore à faire des bons bouquins au contraire d’autres (meme une bouse d’Amelie les surclasserait). :boulet::-)
Amélie Nothomb,pour tenter une comparaison osée, c’est un peu comme Myléne farmer! Ca parait très simple mais jusqu’à preuve du contraire, il ya personne qui arrive à faire pareil aussi biendonc faut croire que ça doit pas être si simple que ça. J’attends encore de voir un auteur capable de pondre de si petits bouquins aussi cpativants en n’utilisant que des dialogues, des personnages et des situations tels que ceux qu’on trouve dans les bouquins de Nothomb. Alors, oui, tout comme la vilaine fermière, A. nothomb réutilise les mêmes recettes et on sait à quoi on va avoir affaire mais comme elle est la seule à être sur son créneau, ben tant mieux si elle continue car sinon on aurait plus ce spetits romans annuels lus en 2 heures qui sont osés, avec des dialogues que je trouvent inventifs et qui arrivent quand même à suffisamment vous captiver pour que vous les lisiez en 1 fois! Donc vive Amélie Nothomb!… Et Mylène la vilaine fermière!:pompom:
Je cherche, moi aussi, toujours ce qu’il y a de bon dans les romans de Mademoiselle Nothomb… parce que j’aime beaucoup ! J’aime le style nouveau qu’elle propose, j’aime son humour décalé dans un autre monde et l’absurde des situations qu’elle nous propose… mais je dois bien avouer qu’une certaine lassitude m’envahit aussi (à mon grand desespoir) à la lecture de ces trois derniers romans ! ceci dit, je ne désespère pas : le grand beau gros Nothomb va arriver ! Faut juste qu’elle veuille !!
je vais probablement faire mon avant projet de doctorat en litterature comparee sur amelie nothomb et un auteur algerien, cherchant à “decouvrir” si l’ecriture crue, choquante et parfois vulgaire que prone nothomb cherche à devenir un style à part entiere ou ne fait qu’etre un elelment narratif servant la trame, il est vrai que son style est plutot pauvre, mais je pense à mon niveau que c’est un des rouages de son mechanisme qui consisterait à faire oublier les mots pour n’en garder que la face cachée et par là le ou les sens voulus.
Salut tous le monde:redface:
J’voulais vous demander si quelqu’un parmi vous avais pas le resumer de “antichrista” car je doit le lire mais j’ai vraiment pas le temps , si qq1 peux m’envoyer le resumer sur mon adresse e-mail se serais suuuuperrr cool :-)
Merci bcp a tous :lol: et bonne soirer
Mon adresse e-mail : melbon666@hotmail.com
Merci d’avance
:pompom:
Vraiment décevant ! Des personnages sans consistance, principalement quant aux parents. Il n’y a guère que la rébellion de Blanche pour donner un peu de chair à ce livre. La juste fin de ce roman est dans l’amphithéatre. La suite semble plutôt viser à atteindre un certain quota de caractères.
aimé ? pas aimé ? difficile de me prononcer …. en tout cas, j’ai pas vraiment saisis la fin : je sais pas si c’est parce que je suis pas assez intelligente (enfin bon nan je pense pas que çà soit çà lol quand même!!!) ou si c’est parce que c’est pas clair ….. en tout cas, même si je ne vais pas dire que A.Nothomb n’a aucun talent parce que je n’ai lu qu’Antéchrista, je ne vois pas de quoi en faire tout une histoire … enfin je veux dire que des auteurs bourrés de talents il y en a pleins, et je ne vois pas ce qu’il y a de “particulier” ici …
mais sinon c’était un petit livre sympa à lire quand même :lol:
un commentaire ampoulé, comme les “romans-nouvelles” de nothomb. gaffe à la contamination :)
!je m’étonne que certains (des littéraires? :o) arrivent à faire autant de fautes dans un commentaire…
titi> style cru: va plutôt voir la despentes. c’est un drôle du sujet pour une thèse…quel rapport avec un auteur algérien?
à lire/découvrir dans un tout autre style paul auster (dans le texte).
coucou ,
moi j’ai découvert Nathomb avec attentat et depuis j’ai découvert ses autres livres et j’adore !
mes 3 préférés sont :
:pompom: mercure
:pompom:biographie de la faim
:pompom:antéchrista
je vais lire les autres, en ce moment : hygiéne de l’assasin:salut:
pour moi amelie Nothomb est une grande figure de la litterature francaise, certains peuvent ne pas aimer mais moi j’aime énormément tout ces livres et je les devore en un rien de temps. Elle a un style d’ecriture particulier mais c’est ce qui je trouve fait la richesse de ses livres. Bien sur elle n’atteint pas le niveau de Stendhal, Suskïnd ou bien d’autres auteurs mais elle a beaucoup de talent. Son nouveau Journal d’hirondelle est trés bien aussi.
Mes préférés sont :
:redface: métaphysique des tubes
:redface: Antechrista
:redface: Mercure
Sérieux, j’ai lu des commentaires scandaleux a propos de la plus cinglée et la plus géniale des écrivaines contemporaines francophones. Elle a le don de vous raconter une histoire absolument hallucinante en seulement 120 pages à chaque fois et ça c’est fort, c’est comme Matisse qui en trois traits de crayon vous dessinait toute une histoire. L’histoire d’Antechrista est tellement juste, parle tellement bien de la tourmente adolescente, de la dualité, des problèmes d’identité, de la relation dominant-dominé toujours très ambigue. Et sans aucune description pompeuse, Amélie parvient à nous restituer toute une ambiance, une atmosphere et des personnages envoutants. Vraiment cette fille mérite qu’on l’adule.
:-):lol:;-):-(:eek::roll::redface::cool::doute::gene::hum::mrgreen::help::book::love::langue::dodo::censure::mur::ok::petard::blah::salut::shock::berk::ben::pleure::rigole::boulet::gne::joker::croa::pompom::afro::kiss:
:dodo:Je viens juste de terminer de lire ce livre et sincérement je suis déçue. Le premier livre que j’ai lu d’Amélie s’était mercure la he peux dire que j’ai adorée, il y a avait de tout supence et le plaisir de lire… Antéchrista n’a rien de ce que je m’attendais a lire:shock:…mais bon je vais continuer à lire ses livres et je comenterais…bonne lecture à tous…:salut:
Je suis sidérée par ce roman.
En effet, je trouve le début et la fin absolument mauvais et le développement tout à fait exploitable.
Quand je l’ai commencé, je me suis demandée ” Mais c’est une blague? Vais-je le terminer?”
Eh oui, je l’ai fini, taraudée par le suspense mis en place et l’envie de savoir comment A.N. allait s’en dépétrer et là, même désarroi. Pourquoi cette fin? Moi non plus, je n’ai pas compris. Et quel tour de passe-passe pour ne rien dire.
J’hésite à le faire lire à mes élèves mais ils sont surprenants, ils aiment parfois ce que nous détestons.
Beaucoup ont lu “Attentat” et ont apprécié, un a lu “Stupeur et tremblements” ( mon préféré) et a trouvé ça amusant. Surprenant, ils apprécient également “Peplum” et “Les Combustibles”.
C’est vrai qu’Amélie, on en a vite fait le tour et c’est bien dommage car “Stupeur et tremblements”, c’était vraiment original. Il faudrait qu’elle sorte de son rôle.
jaime bien améli nothomb j’en ai lu kelke uns j’ai été decu par celui ou el parle du japon je ne l’ai pa fini pa aimée!!
:-):blah::salut:
Bonjour, voilà je viens de lire le romans, je suis d’accord avec beaucoup d’entre vous : c’est toujours le meme style, une abondance de dialogue,…
Malheureusement, je suis peut etre un peu bête mais je n’ai pas compris la fin…
Le bien combat le mal et il vient à bout par un baiser?
Mais pourquuoi s’enferme t-elle chez elle apres?
le mal aurait alors réussit a un peu l’influencer?
Aidez moi au plus vite, je ne vois pas clair.
Je crois avoir lu tous les romans d’Amélie Nothomb, avec un certain plaisir il est vrai, mais cette fois-ci je suis déçu. Je m’attendais à une fin qui en est une, mais la chute, je n’ai pas pigée. Le truc dans l’amphi, pourquoi la Christa n’est plus revenue, les pages (superflues??) qui suivent… Ca m’a totalement échappé. Quelqu’un veut éclairer ma lanterne???? Merci!
Je l’ai lu pour l’école et j’ai plus ou moins apprécié l’histoire de base, n’ayant jamais lu aucun Nothomb, mais je trouve ce style trop peu détaillé, je suis plutôt du genre ” beaucoup de mots” ;-)
Je pense que l’histoire serait plus passionnante écrit, par exemple, par Fred Vargas dont j’aime beaucoup l’écriture.:)
Donc voilà mon avis ;-)
…Mais ma prof de fançais nous avit prévenu que le style n’était ps génial :lol:
Premier livre pour moi de cet auteur et c’est très décevant. Tout est convenu tout en étant très exagéré. Je n’ai pas cru un seul instant à l’histoire qui m’était raconté. Tous les personnages sont caricaturaux et je n’y ai trouvé aucun style littéraire (= s’amuser avec les mots). Pas de style et pas d’histoire prenante, c’est donc un énième bouquin contemporain enchainant les phrases courtes et au scénario digne d’un téléfilm. Seul point positif : j’ai quand même chercher à connaître la fin malgré un ennui presque abyssale tout le long.
Pour me faire un second avis j’ai également essayé Hygiène de l’assassin qui se révèle la même chose mais en beaucoup plus prétentieux avec ses avalanches de bons mots et de psychologie pour les nuls. Encore une fois je ne crois pas à ce que l’on me raconte dans le livre et ça ne possède aucune originalité propre.
Est-ce que Nothomb sait qu’écrire des livres ce n’est pas comme écrire des scénario de films ? A moins que.. elle vise les adaptations ?
Antéchrista: c’est le prémier livre, que je lis d’Amélie Nothomb. Et je l’aime bien. Surtout le fin.
Je trouve génial ses allusion à la bible. Elle arrache les mythes et les histoire de la bible de son contexte pour montrer que notre société secularisé n’en sait rien. Nous ne ns souvenons plus ce que ses histoires veulent ns dire.
Puis, Blanche se crucifie pour se développer. Elle sait qu’elle n’arrive pas à être heureuse, si elle n’en fait rien. Alors elle veut devenir une autre Blanche, bien qu’elle sache que c’est pas son, mais le souhait de Christa. De l’un côté, c’est triste, parce qu’une fille moche et introvertie doit se transformer pour être accepter, selon le roman. De l’autre côté, il y a comme ca de l’espoire: Bien que Christa veule détruire Blanche, elle fait le contraire.
Je pense qu’il ya beaucoup dans ce petit roman, quand ne peut pas diréctement comprendre. Moi p.e. j’sais rien de société Belgique et pour ca je n’arrive pas a comprendre ce que Nothomb veut dir sur cette société. (Je pense qu’elle en veut dire qc, parce que Christa vient p.e. de Cantons de l’Est où il y a des gens pauvres?, sinon les autres gens demandaient pourquoi elle est pauvre ?)