Benjamin trouve sa bite un peu trop petite mais n’en fait pas une affaire d’état. Il en parle plutôt bien et sans ambages. J’aime bien cette franchise et cette candeur sur un sujet où les hommes sont rarement loquaces.
Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).
Benjamin trouve sa bite un peu trop petite mais n’en fait pas une affaire d’état. Il en parle plutôt bien et sans ambages. J’aime bien cette franchise et cette candeur sur un sujet où les hommes sont rarement loquaces.
je suis entièrement de ton avis Matoo san, benjamin ne se prend pas la tête il explique son speudo-problème avec franchisse ces ça que j’aime chez lui (blog).
:redface: vous me faites rougir messieurs, c’est trop zentil. Je dois dire que ce post a été largement inspiré (mais beaucoup moins talentueux) par un extrait sur le même sujet des “vaisseaux brûlés” de Renaud Camus, “hyperlivre” sur internet, que je ne saurais trop vous conseiller d’aller visiter (voir note 675 et suivantes) :
http://perso.wanadoo.fr/renaud.camus/vaisseaux/122.html#607
Il faut d’ailleurs que je fasse un petit article sur Renaud Camus dans les prochains jours.
en effet, un vrai bonheur ce post