MatooBlog

Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).

Porno uncut

Juju commence par un de ses posts drolatiques sur l’exploration d’un sex-shop, et il nous fait découvrir cet article sur les dessous du milieu porno. C’est tout de suite moins drôle mais tellement vrai. Difficile de ne pas se sentir impliqué en tant que “consommateur” (citoyen ?).

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  • ce qui me marque en lisant l’article sur la pronographie, c’est que ça m’a choqué alors qu’au fond on est au courant, à moins d’etre de grands naifs. ça rend toujours mal à l’aise d’etre confonté à sa propre hypocrisie…

  • Je me demande ce qu’il en est dans le milieu du porno gay ? Parce que j’avoue que si je me sens interpelé par cet article, ce n’est pas en tant que consommateur, vu que dans les films que je regarde, on y voit que très rarement des filles…

  • Pascal> Oui moi aussi au final, et je pense que ça arrive moins chez les mecs. Encore un exemple de sexisme…
    Talk&Listen> Plein de pratiques peuvent révéler plein de choses différentes. Mais là je crois que tu es hors-sujet.

  • J’me d’mande bien pourkoa ca arriverait moins chez les mecs…
    Se faire foutre deux bites dans l’anus en même temps, voir 15 à la file, c’est du même akabi…

    Et est ce que ce mettre une carotte dans le Q, ca voudrait dire qu’on dit merde a ses parents qui nous auraient forcer a en manger rapé petit ? Hein dabor ? :censure:

  • Je me posais également la question.

    Je pense que le phénonème est similaire dans certains cas. Il l’est peut-être moins pour une raison à la fois anatomique et surtout culturelle. La femme est toujours la pénétrée (sauf gode ceinture), ce qui n’est pas le cas pour un homme, même si certains ont l’étiquette ‘passif’ qui leur colle à la peau.

    En tous cas, mes recherches de témoignages similaires pour le porno gay se sont pour l’instant révélées infructueuses.

  • J’avais lu la bio de Joey Stefano (chez Balland) et ce n’était pas des plus “gais” justement. Mais c’est plus psychologique je crois… moins d’agression physique pure il me semble.

  • Le fait est que la détermination de genre homogène par rapport au spectateur de l’acteur gai ne peut se comparer à celui de l’actrice des pornos hétéros. Je ne pense pas que le public du porno hétéro s’identifie à l’actrice.

    Conséquence : des amis d’amis, pas spécialmeent gay friendly, avaient décidé un jour de regarder le porno gay de Canal. Il savaient été frappés par le quantité de baisers et de tendresse figuré dans ce type de produciton – certes, ce n’est pas toujours le cas, cerain public, aussi, y étant allergique. Mais je dois avoué n’avoir jamais visionné des situations de viol et d’humiliation dans le porno gay aussi désagréablement réalistes que ce qu’on peut trouver dans le porno hétéro – et là, pour ce que j’ai pu en voir, le manque souvent absolu de tendresse pour la partenaire féminine m’avait à l’époque déjà choqué.

    Sans doute que j’ai la posisbilité, peu ou prou, de m’identifier à l’actrice féminine.

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