Livre 2 – XII

[…] Qu’est-ce que mourir ? Si l’on envisage la mort en elle-même, et si, divisant sa notion, on en écarte les fantômes dont elle s’est revêtue, il ne restera plus autre chose à penser, sinon qu’elle est une action naturelle. Or celui qui redoute une action naturelle est un enfant. La mort pourtant n’est pas uniquement une action naturelle, mais c’est encore une oeuvre utile à la nature. […]

Pensées pour moi-même, Marc-Aurèle.

Un des multiples textes qui veut expliquer que la mort en tant que processus naturel (et inexorable) ne doit pas être tant craint ou dramatisé. En plus d’une philosophie à la Mufasa (le cycle de la vieuuuuuuuuh !) qu’on retrouve tout au long de l’oeuvre.

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