[…] Qu’est-ce que mourir ? Si l’on envisage la mort en elle-même, et si, divisant sa notion, on en écarte les fantômes dont elle s’est revêtue, il ne restera plus autre chose à penser, sinon qu’elle est une action naturelle. Or celui qui redoute une action naturelle est un enfant. La mort pourtant n’est pas uniquement une action naturelle, mais c’est encore une oeuvre utile à la nature. […]
Pensées pour moi-même, Marc-Aurèle.
Un des multiples textes qui veut expliquer que la mort en tant que processus naturel (et inexorable) ne doit pas être tant craint ou dramatisé. En plus d’une philosophie à la Mufasa (le cycle de la vieuuuuuuuuh !) qu’on retrouve tout au long de l’oeuvre.
Ton fil rss oh tristesse ne fournit pas l’intégralité du billet, or le proxy de mon boulot filtre ton site, je ne peux donc pas aller te lire en journée, snif!!
Serait-il dans tes possibilités (techniques et morales) de modifier les paramètres de ton fil rss, stp, stp, stp ?
Pff, ça se prétend “blog sans contenu” et ça fait de la philosophie antique à longueur de semaine… et même le week-end ! :langue:
J’aime beaucoup une phrase de Montaigne qui dit que la mort est le bout, et non le but de notre vie.
… matoo tu nous fais quand du freidrich Nietzsche? lui aussi est un bon philosophe.
Comme logiquement j’en suis plus près que toi, ma dernière volonté est de finir évaporée. Pfuittttttttttttt
“Il a bu trop d’eau-de-vie… Il en est mort.”
[Patrick Sébastien] :pompom:
Je trouve personnellement que l’oeuvre la plus utile à la nature, c’est la petite mort. Mais ce n’est que mon envie, pardon, mon avis.
Crever, c’est avant tout savoir élégament laisser sa place aux autres !!! Poussez pas trop quand même les mômes !!!
la question est: “mourir un jour” ou “mourir toujours”? telle est la question…
Citation pour citation : “Il nous faut arriver à la mort en pleine
chaleur et en pleine force, comme à notre métier éternel” (Jean Giraudoux).
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