De telles choses, par le fait de tels hommes, doivent naturellement se produire ainsi, par nécessité. Ne pas vouloir que cela soit, c’est vouloir que le figuier soit privé de son suc. Bref, souviens-toi de ceci : dans très peu de temps, toi et lui, vous serez morts ; et, bientôt après, rien, pas même votre nom, ne restera.
Pensées pour moi-même, Marc-Aurèle.
et dans un grand élan, il conclut par un “et vive la teuf!” de bon goût :langue:
“et bientôt vous ne serez plus qu’un nom sur une plaque”
Aragon
:pompom: vraiment pas mal ton blog. juste un pssage. Je vais essayer de prendre plus de temps à te lire une autre fois, srtout les articles sur le ciné. bonne continuation !
Je commençais à me demander si tu avais oublié Marc Aurèle…
Non, non, petit à petit,
Je continue ma recopie.
:petard: