Fabien évoque dans un de ses brillants posts dont il a le secret (et le talent) le fait d’avoir à dire sa séropositivité à une personne pour qui on commence à avoir une certaine inclination.
Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).
Fabien évoque dans un de ses brillants posts dont il a le secret (et le talent) le fait d’avoir à dire sa séropositivité à une personne pour qui on commence à avoir une certaine inclination.
Je crois qu’effectivement, cette situation reste une des plus dures à vivre pour les séropos. Et y a pas de médoc pour faire mieux passer la pillule…
Et les séronégatifs ? Q’est-ce qu’ils ressentent quand on leur dit : je suis séropo ? Peur contre peine mais lequel des deux a le plus peur, lequel a le plus de peine ?
Ce qui nous rapprochent tous : nous ne sommes que des sursitaires.
@panama: bien vu!
La peur et la peine sont differentes pour les deux serodiscordants. Il n’est videment pas question de les comparer en les plaçant sur une echelle de valeur. Une peur ou une peine ne peut pas se comparer à une autre. Ce sont juste deux peur et deux peines. J’ai plus insisté, dans mon post, sur la peur et la peine de l’un puisque c’est celle que je connais le mieux puisque c’est celle que je vis. D’un coté il y a la peur d’une chose exterieur à soi, que l’on cotoie, avec qui on flirte, et de l’autre coté la peur d’une chose interieure, qui ronge de l’interieur. Ce n’est pas comparble, et l’une n’est pas plus quantifiable ou forte que l’autre.
@panama: débile.