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Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).

"Une plaisanterie qui finit mal"

Je suis écoeuré par cette nouvelle découverte sur Têtu. Une transsexuelle brésilienne, Gisberta Salce, a été torturée et violée pendant trois jours par quatorze gamins (treize entre 12 et 15 ans, et un de 16). Et au final, le tribunal de Porto n’y voit qu’une agression et non pas un meurtre. Comment un truc pareil peut-il arrivé ? C’est à vomir… et dans les faits et dans leur conclusion.

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  • Je suis révolté tant par le jugement que par les gosses mais le monde est ainsi fait,mieux vaut ne pas penser aux significations corollaires à cette nouvelles

  • Si elle est morte, ça existe pas au Portugal l’homicide involontaire ? Curieux quand même !

    Parce que, ne pas retenir le meurtre, passe encore, même si c’est absurde (on peut admettre qu’une éventuelle transphobie du juge ait influencée vers un verdict plus clément que l’homicide volontaire), mais faire comme si elle n’était pas morte et qualifier ça d’une “agression qui tourne mal”, c’est quand même un peu raide !

    Et dire que le Portugal fait partie de l’UE depuis 20 ans et est signataire de la Charte des droits fondamentaux de l’UE. On croit rêver, là ! Ou plutot cauchemarder…

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