[…], car il sait que les sentiments les plus douloureux sont les plus absurdes. L’angoisse des choses impossibles, la nostalgie de ce qui n’a jamais été, le désir de ce qui aurait pu être, l’envie de ce qu’ont les autres, l’abîme qui s’ouvre entre la réalité et le désir, entre la volonté et l’évidence.
Citation extraite du roman : “Cosmofobia” de Lucía Etxebarria. Page 140.
“Le désir de ce qui aurait pu être”
Je l’ai toujours celui-ci! Argh!
:mur:
:love: J’adore ce qu’elle écrit. Je n’ai pas lu “Cosmofobia” mais ça ne saurait tarder…
Et c’est comme cela qu’on continue à ne pas profiter du bonheur…
L’envie, non, mais le désir oui…
non les sentiments les plus douloureux sont les plus vrais. Mais oui le désir de ce qui aurait pu être…mais qui ne sera jamais tout simplement parce que l’un reste et l’autre part.