Artypop écrit un billet pour décrire son malaise (c’est comme cela que je le traduis) parmi les pédés, des pédés auxquels il ne s’identifie vraiment pas apparemment. Comme il le dit lui-même : “En fait, je suis dans une sous-section de la minorité homosexuelle. Et au dernier recensement, nous sommes quatre.” Et après tout, c’est juste, ce n’est pas parce qu’on suce des bites qu’on est censé bien s’entendre les uns avec les autres, ou avoir plus en commun que cette orientation sexuelle.
Et en effet, artypop n’est vraiment pas une de ces tapioles qu’on met facilement dans une case. Bah pour lui ça peut paraître douloureux, mais au final c’est une sacrée qualité je trouve, et qui fait certainement beaucoup pour son charme. Et puis, tu sais bien mon chou, les mecs adoooorent les freaks inclassables. Huhu. :mrgreen:
Ah enfin une note de blog avec des références bibliques de connaisseur! :langue: Bon, je retourne à mes valises.
Je suis entièrement d’accord, et ne pas se reconnaître n’est pas forcément rejeter.
C’est une question d’intelligence, c’est tout.
Alors, je suis bien emmerdé que tu es linké cet article (mais merci, hein), parce que je l’ai écrit sans vraiment savoir ce que je voulais dire (et je ne le sais toujours pas, en vrai). Juste mon agoraphobie, je pense, et mon aversion de la danse. Parce que j’ai aucun malaise avec les pédés en vrai. Juste qu’il faut pas qu’on soit trop nombreux ensemble au même moment :-)
(tiens, quand est-ce qu’on mange ensemble, d’ailleurs ?) (hihi).
Ah oui, j’ajoute – au cas où il y ait des malentendus – que mon billet ne porte aucun jugement de valeur sur la Gay Pride en général et son intérêt (je me range là-dessus vers l’avis de Colin Ducasse). C’est uniquement, comme je l’ai écrit au début du texte, introspectif.
“que tu aies linké” (des baffes, je mérite des baffes).