Arthur voit se profiler la fin de son périple new-yorkais, et il dit là au revoir à une de ces rencontres à l’étranger qui soudent les amitiés les plus curieuses, improbables et solides ! Comme d’habitude chez Arthur, c’est sincère, sensible et lucide. Tout ce que j’aime.
Excellente vision de la vie expat.
Quelle justesse de ton, reflet véritable de ce que l’on éprouve au départ des amis , ou pire lorsque vient notre tour.
Même si l’on se dit que le monde est petit, on n’est jamais 100% assuré de se revoir. Et ensuite… Comment refaire les liens quand on a vécu tant de choses différentes, que les expériences, les chemins, “les vécus” comme disent certains pontes sont si éloignés.
Mais il restera toujours la joie des rencontres , au coeur des expatriations, ou des séjours en France
Je reviens un instant sur le Post d’Arthur. Je suis surpris qu’il aie oublié de parler de la saveur que retrouvent toutes les choses, même les plus anodines, quand on sait que l’on doit partir définitivement. Tout retrouve cette fraîcheur initiale qui caractérisait les premiers temps du séjour. On se prend à rêver à nouveau. la qualité de l’air retrouve sa pureté, sa luminosité, son éclat. C’est fabuleux, un peu déchirant quand même mais combien jouissif.
Il n’ y a pas que les copains qui vont manquer, il y a tout le reste. La vue de l’appart ou du bureau, les petites joies des trajets quotidiens, toutes ces bricoles qui vont le bric-à-brac de tous les jours. Tout ce qui inimitable et si particulier.
Cher Istamaboul je suis surpris que tu ne me dises pas ca sur mon blog :)
Treve de plaisanteries il y a un malentendu : je ne suis pas encore si proche que ca du depart… Encore deux a trois mois quand meme. Je t’en reparlerai donc a ce moment-la.
Mais merci de confirmer en attendant !
Et merci Matoo pour le clin d’oeil :)
Bises depuis la grosse pomme.