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Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).

Back to Virginie

Cela faisait bien longtemps que j’étais descendu à Montpellier… Si j’en crois le blog, c’était il y a trois ans pour les 30 ans de Virginie ? Ooooh nan, j’ai honte. Nous ne nous sommes pas complètement perdu de vue, mais la séparation géographique a indéniablement petit à petit érodé la relation. L’amitié et tous ses sentiments sont intacts, mais on perd pied en ne se voyant plus autant, et puis il est indéniable qu’on vit le quotidien séparément, alors qu’on le vivait ensemble quand elle habitait sur Paris. C’est la même chose avec Diego qui est à Bruxelles, même si mon pote a plus d’occasions de venir me voir ici.

Virginie, je l’ai connue parce qu’on prenait le même bus pour aller au Lycée, et qu’on s’y voyait matin et soir, sans se parler. Et puis le jour où on s’est retrouvé par hasard dans la même classe, il a bien fallu qu’on s’adresse la parole. Hé hé hé. Progressivement, on est devenu potes, puis amis, et c’est en se retrouvant sur Paris qu’on a fondé une relation plus durable et sincère. Car c’est bien beau de garder des amis du lycée, mais si on ne se suit pas, on les perd au bout d’un moment, ne serait-ce que parce qu’entre le lycéen et l’étudiant, une belle révolution peut changer la donne. Et me concernant, on peut appeler cela comme ça…

Virginie en a été le témoin mais aussi une des actrices principales, et c’est aujourd’hui certainement la personne qui a le mieux connu tous ces Mathieu… Je lui voue une amitié sans faille, et je sais que ma loyauté a été cruciale à des moments où elle-même s’éloignait pour diverses raisons. Aujourd’hui, cette loyauté est largement à double-sens, et quand l’un n’est plus là, l’autre patiente et persévère. Il faut dire que c’est à chaque fois pour des histoires amoureuses évidemment. Huhu. Je l’appelle cent fois, elle me rappelle deux cents fois, et nous finissons par passer quatre heures au téléphone à nous raconter ce que l’autre devine à demi-mots.

Nous nous faisons un bien fou, car nous partageons ces 17 ans de connivence, de souvenirs, de confidences et d’une salvatrice sincérité. Aussi je l’ai retrouvé sans surprise ni appréhension, et cela m’a donné un bonheur dingue. En outre, elle est depuis quelques années avec ce garçon génial avec qui elle m’annonçait qu’elle se mariait fin mai, et il fallait absolument que je lui présente mon garçon génial à moi avec qui je me marierai aussi un jour prochain. Je me disais qu”ils n’auraient aucune difficulté à s’accorder, et j’avais vu juste.

Comme il a fait un temps de merde et qu’il a plu quasiment sans discontinuer, cela nous a donné le loisir de ne rien faire sinon papoter et parler et blablater chez eux. Nous sommes bien allés faire un resto samedi soir sur Montpellier, et nous avons même bu un verre avec Jarod_ et son amoureux. J’aime vraiment beaucoup beaucoup Jarod_ que je connais finalement peu, mais que je rencontre toujours avec plaisir. Il est cool, simple, intelligent et ne nous a jamais fait son anti-parigot comme nous y avons parfois eu droit. Je sens qu’on pourrait vraiment devenir potes si un jour nous devions vivre dans la même ville !! Hé hé.

Dimanche, petite accalmie, et un chat sur le rebord d’un mur m’a sorti de ma torpeur matutinale.

Vue de Montbazin

Détail du chat sur le mur

Et hop déjà le retour, car c’était un week-end express pour que mon chérichou ne les rencontre pas pour la première fois à leur mariage. Voilà qui est fait ! La suite donc fin mai avec Diego et Donato pour l’occasion, cela sera certainement des plus déblogables.

Virginie et Diego

(Virginie et Diego en 2004)

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