William écrit un de ces posts qui font que son écriture bloguesque me manque beaucoup. Mais preuve qu’il n’a perdu ni se sa verve (j’ai écrit *verge* hu hu hu), ni de l’élégance et la fluidité de sa plume. A lire éperdument.
Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).
William écrit un de ces posts qui font que son écriture bloguesque me manque beaucoup. Mais preuve qu’il n’a perdu ni se sa verve (j’ai écrit *verge* hu hu hu), ni de l’élégance et la fluidité de sa plume. A lire éperdument.