Via un touite de Xavier, il faut vraiment lire cet article de Slate qui narre dans le menu le viol d’une femme française expatriée à Sydney. On y lit le récit d’un viol dont on se dit que décidément men are trash, mais ce n’est pas le truc qu’on pourrait s’imaginer [sic] avec une agression dans la rue ou un truc de ce genre, mein gott c’est beaucoup plus sournois.
Ce récit circonstancié pointe surtout les différences majeures entre notre pays et l’Australie dans la prise en charge/compte des femmes victimes de telles violences. Le plus dingue et terrible c’est de se retrouve dans un épisode de The Good Wife/Fight avec une défense qui pond une histoire crédible (à vomir dans sa bouche) collant aux faits. Très très intéressant et assez bouleversant aussi (attention).
J’ai passé une partie de l’après-midi à lire le témoignage. Il faudrait que nos politiques le lisent, que tout le monde en fait, le lise. Qu’on atomise ce tabou, qu’on cesse de discréditer les victimes. Quand on lit son calvaire et la bienveillance, le professionnalisme, qui l’ont accompagnée en Australie, on pense tristement au sort des femmes et des hommes qui subissent le viol en France et à l’impunité qu’on accorde scandaleusement à tant de violeurs.
Si tu ne suis pas ou ne connais pas Titiou Lecoq, je te conseille chaudement sa newsletter (via Slate).
Je ne connaissais pas ce monsieur, je vais regarder cela de plus près !
C’est une dame
L’auteure du témoignage la remercie en fin d’article.
Ok, la dame.