J’ai déjà parlé du journal d’Arnaud, et là encore un petit bout de texte qui me touche…
Je crois que notre histoire est belle dans son possible et pourtant elle ne cesse de crier son impossible. Je crois que nous n’osons pas être sérieux quand nous rions de demain. Je crois que je ne devrais pas parler que de tes yeux puisque nous sommes amis. Pourtant je mets mon bras. Alors tu prends ma main.
Journal du Dimanche 28 juin 2020