Encore un bel article d’Arnaud, dont j’aime vraiment beaucoup le blog qui est un vrai journal.
Tu te laisses regarder. Tu ne bouges plus. Tu viens compléter ces images, qui sont autant d’histoires que je raconte ailleurs sur les autres ou sur moi, des petits bouts d’histoires bien souvent sans mots, sauf lorsque j’évoque cette odeur de vanille, des petits bouts de rien sans lesquels on serait quoi ?, des petits bouts de moi qui narrent l’éphémère, la solitude des soirs, ces existences qui repartent, comme toi, bravant parfois l’interdit d’un couvre-feu, d’ailleurs nous pourrions en sourire, de cette expression, de ce que l’on couvre et découvre, de ce qui nous brûle.
Samedi 23 janvier 2021