Iwak c’est Inktober with a keyboard, donc tout le mois d’octobre : un article par jour avec un thème précis.
J’aime les couchers de soleil (oui ok, ça ne vous étonne pas ), et les cieux sous toutes leurs formes, mais surtout bleu azuréen avec d’énormes nuages blancs bien duveteux, mafflus et joufflus. Mais j’aime autant la nuit étoilée sans lune qui laisse apparaître la voie lactée, et j’aime aussi la lune en tant que telle comme là au-dessus un soir d’éclipse lunaire sur l’île de la Réunion en juillet 2018.
L’amour de la nuit me vient vraiment de l’adolescence, où j’aimais me promener les nuits étoilées, et où l’ombre était une sorte de gangue protectrice, une cape d’invisibilité qui permettait de s’abstraire de son propre corps, et de n’être qu’un personnage immatériel dans les abîmes. Depuis tout petit et un plan des constellations trouvé dans je ne sais plus quel magazine (peut-être le journal de Mickey ?), j’ai adoré repérer ces agencements d’étoiles dont les noms me faisaient irrémédiablement penser à mes héros mythologiques favoris (j’ai lu Edith Hamilton avant les X-Men, ça marque !! ), avant que ce soit les chevaliers du zodiaque qui décrochent la timbale. Hu hu hu.
D’ailleurs si je me rappelle bien la première mention consciente des constellations me vient du Choc des Titans1, car à la fin du film c’est Zeus qui placent les constellations en souvenir (du film, mouahahahahaha).
- Celui de 1981 évidemment, avec les effets spéciaux de l’illustre Ray Harryhausen, et pas les bouses “remake” de ces dernières années. ↩︎