Depuis le début du confinement, on vit dans un Paris qui n’est pas mort, on est trop nombreux pour cela, mais qui est super calmé, genre sous xanax et prozac...
Quand je suis arrivé à Paris en 1998, mon seul repère comme beaucoup de banlieusards c’était l’ancien ventre de Paris : Les Halles. Ce coin a subi une sacrée mutation...