Paris confinée et désertée

Depuis le début du confinement, on vit dans un Paris qui n’est pas mort, on est trop nombreux pour cela, mais qui est super calmé, genre sous xanax et prozac ! Plus lent, plus doux, plus humain peut-être aussi. On entend plus les voitures, on ne se frôle plus, on ne se bouscule plus. Et les quelques photographies que j’ai pu faire de ce Paris dépeuplé, sont autant de visions...

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