Kaboom

C’est étonnant de constater comme Gregg Araki est redécouvert à l’occasion de ce film. Redécouvert par une nouvelle génération de gays et lesbiennes, puisque son « Kaboom » est un OVNI queer et barré par excellence. On y retrouve un peu de la sexualité sulfureuse d’un Shortbus, la narration ultra-acidulée (voire sous acide tout court) d’un Hedwig, du même...

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