Polyphème narre une de ces histoires de famille qui touche forcément tant c’est joliment raconté !
Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).
Polyphème narre une de ces histoires de famille qui touche forcément tant c’est joliment raconté !
Il écrit bien ce Polyphème.
Ah… Là tu me fais découvrir du neuf (pour moi)qui vaut le détour.
Merci.
Ma grand-mère qui remettait les tendons en place, m’a enseigné les cartes, et je soupsonne qu’elle levait les “feux” (brûlures) !
Si j’avais eu un peu d’élégance morale, le plaisir de me voir cité m’aurait suffit, j’aurais opté pour une autosatisfaction silencieuse… C’était mal me connaître. Pas d’élégance, pas d’humilité, bref : Matoo parle de moi et je me la pète grave…
C’était Polyphème dans son instant Carla…
Merci de votre attention.
Merci Matoo.
Comme j’ai l’esprit mal tourné je verrais bien une de ses chaînes dont les blogs raffolent et qui dirait quelque chose comme :
dans quel livre de chevet glisseriez-vous un mot à la mort afin qu’elle vous fasse signe trois jours plus tôt et que vous puissiez faire tranquillement vos adieux à tous vos bien-aimés (et voir une dernière fois votre notaire si besoin était) ?
Belle histoire en tout cas. Merci pour le lien.