Sur une idée de la fée Kozlika en 2020, voilà Iwak (Inktober with a keyboard). Un mois d’écriture sous contrainte à la manière de tous ces dessinateurs qui publient de chouettes dessins sur les Internets. (#Blogtober ça fonctionne aussi.)
Cette photo de 2012, prise lors d’un coucher de soleil sur l’île de Santorin, reste un de mes plus beaux souvenirs d’éclaboussure. Ce petit splatch parfaitement satisfaisant, alors que les vagues venaient lécher les rochers avec l’intensité idoine, et son jaillissement d’écume sont ce je préfère dans la chasse aux vagues.
Evidemment, c’est en Bretagne, que le vagues sont belles, grandes et tumultueuses, et qu’elles éclaboussent bien souvent votre serviteur.

Laissez-moi vous dire que celle-ci m’a bien éclaboussé !!! Et toutes les saisons sont propices, même si les grandes marées du printemps et de la fin de l’automne m’ont toujours paru les plus fabuleusement éclaboussantes.

C’est bien souvent au port de Doëlan que les vagues sont les plus impressionnantes ne laissent pas grand monde au sec. L’orientation est également idéale pour quelques clichés en contre-jour.

Mais Doëlan c’est aussi les gigantesques gerbes d’écume et la violence inouïe des vagues venant se briser sur sa digue.

Mais au final, j’ai trouvé, pour le moment, le meilleur générateur d’éclaboussure au gré de mes voyages, et c’était sans conteste à la Réunion. Même pas par mauvais temps, ou grain particulier, non on voyait même des baleines sauter de temps en temps (et mon émerveillement croissant à mesure que soudainement une, deux, trois caudales apparaissaient au loin), et les vagues étaient immenses et inhumaines. Des vagues dignes de la colère de Poséidon, mais qui sont là-bas le tout venant quotidien. Et là ça vous en colle des éclaboussures, et c’est pas de la blague !!!


